Ce sont des mémoires ancestrales, transmises à travers les générations, qui ont façonné notre caractère, un héritage génétique. Notre corps est influencé par nos pensées ; tout ce que nous croyons vrai s'imprime en nous.
Pour nous libérer de ces mémoires, nous devons les effacer, comme on efface les autres mémoires, par le pardon. Nous devons identifier le mal qu'elles causent et l’effacer avec Ho’oponopono ou l’intégrer. Tout ce qui nous semble normal, mais qui ne va pas dans nos vies, provient de ces croyances : maladies, vieillissement, peur de la mort, sentiment d'impuissance...
Nous sommes piégés par cette normalité, cherchant à nous libérer tout en préservant certaines normes sous prétexte qu'elles font partie de notre nature. Mais nous ne pouvons pas être vraiment libres tant que nous croyons être mortels, sujets aux maladies et au vieillissement, ou soumis à des règles comme dormir, manger et boire. Penser que ce que nous venons de lire est une folie fait partie de ces programmes mentaux. Tant que nous ne reconnaissons pas notre asservissement, nous ne pouvons comprendre. Toute souffrance vient d'attachements, visibles ou invisibles : à une personne, une idée, la vie elle-même. Refuser de voir cette réalité, c'est encourager les autres à nous conforter dans nos croyances. Ils profitent de nous, nous utilisant comme des objets, et nous nous plaignons d'être abusés. Critiquer ou réclamer justice ne suffit pas : l'abuseur est en nous. Tant que nous ne le reconnaissons pas, il continuera à nous manipuler. Nous sommes pourtant libres, sans obligations, restrictions ou limites. Développons notre potentiel et libérons-nous : rien ne peut s'opposer à notre volonté.