
Centre Européen de Ho'oponopono
Qu'est-ce que Ho'oponopono ?

Préambule : un certain nombre d'informations contenues dans ce site sont susceptibles de choquer des personnes fortement attachées à des croyances religieuses ou académiques.
Il est de très loin préférable de consulter ce site avec un esprit et un cœur ouvert.
Une méthode Hawaïenne d'origine très ancienne :
Ho'oponopono était pratiqué à l'origine par les chamanes Hawaïens afin de résoudre les différents qui pouvaient naitre entre deux ou plusieurs personnes au sein d'un village ou encore entre deux villages différents pour éviter un combat.
Aujourd'hui,
Ho'oponopono s'est individualisé grâce au travail de Morrnah Simeona puis de Hew Len.
Ho'oponopono nous propose de nous reconnecter à nous même en effaçant nos mémoires afin d'être parfaitement centré, d'être parfaitement bien et détendu, c'est à dire d'atteindre un état d'être nommé "zéro limite".
Voilà l'essentiel résumé en une petite phrase.
A partir de là, un certain nombre de questions se posent sur le sens des expressions utilisées.
Qu'est-ce qu'une mémoire ?
Une mémoire, au sens de Ho'oponopono, est un programme erroné qui tourne dans notre subconscient sans que nous y prenions garde et qui va générer des situations problématiques et des réactions désagréables pour nous.
Et oui, tous nos problèmes quotidiens (et mêmes les autres) sont créés par notre subconscient. Par nous-même quoi !
Et là, très logiquement Ho'oponopono nous dit : "Pour supprimer vos problèmes actuels, pour ne plus en rencontrer, pour trouver la paix, c'est très simple, il suffit de supprimer ces mémoires".
Encore mieux, le vide laissé par les mémoires supprimées est immédiatement comblé par de l'Amour.
Plus facile à dire qu'à faire me direz vous ! Et bien non, c'est très simple, c'est même enfantin. Peut-être un peu long mais rien d'insurmontable. Une année de travail régulier peut suffire à supprimer suffisamment de mémoires pour provoquer une bascule.
C'est à dire que lorsque votre subconscient contiendra une plus grande quantité d'Amour que de mémoires, il lâchera enfin prise, il libèrera toutes les mémoires restantes pour les remplacer par de l'Amour. Vous retrouvez votre équilibre, votre calme, votre sérénité et vous ne pouvez plus faire marche arrière.
Vous avez atteint l'état "zéro limite".
Comment fait-on pour effacer une mémoire ?
C'est ici qu'interviennent les quatre phrases mondialement célèbres :
Je suis désolé. S'il te plait pardonne moi. Merci. Je t'aime.
Il suffirait de répéter ces phrases comme un mantra pour effacer les mémoires et atteindre l'état de "zéro limite". Oui et Non.
Je m'explique.
Un mantra est une phrase qui, lorsqu'elle est prononcée et répétée des centaines de fois, émet des vibrations positives qui viennent améliorer l'état de la personne. Il existe une très grande variété de mantras adaptés à une aussi grande variété d'états plus ou moins pathologiques. Cela fonctionne et les quatre phrases de Ho'oponopono créent effectivement de très bonnes vibrations. Donc oui le mantra nettoie les mémoires "ordinaires", des petits ennuis du quotidien.
Seulement voilà, il y a un MAIS (et il est de taille).
Compte tenu de la gigantesque quantité de mémoires stockée dans notre subconscient lors de nos multiples incarnations et de la taille de certaines d'entre elles (ancestrales, familiales, sociétales ...), une seule vie ne suffira pas à tout effacer à l'aide d'un mantra. C'est un peu comme vouloir aplanir une montagne de gravas à l'aide d'une petite cuillère. Donc non, le mantra n'est pas suffisant pour atteindre l'état de "zéro limite".
Il nous faut donc utiliser une pelleteuse pour déblayer ces gravas et cette pelleteuse c'est la pleine conscience de chacune des quatre phrases. Cette pleine conscience doit s'étendre jusque dans le corps chaque fois que nous les prononcerons. Bien entendu je développerai cet aspect corporel en profondeur mais un peu plus tard.
Pour l'instant, il est important de bien comprendre le sens de chacune des phrases et pour cela nous devons plonger un peu dans les principes Hawaïens de Ho'oponopono.