Cette Conscience suprême peut être considérée comme étant la lumière blanche et comme elle, elle peut se subdiviser en plusieurs couches, en plusieurs couleurs, comme une lumière blanche passant dans un prisme. Chaque couche est une nouvelle dimension.
Ce prisme c’est nous, au sens Ho’oponopono du terme. C’est à dire qu’il s’agit de notre famille intérieure, à savoir l’ensemble composé par notre corps physique, par notre subconscient, considéré comme notre enfant intérieur, l’unihipili, par notre conscient considéré comme la mère intérieure, l’uhane, par notre supra conscient considéré comme le père intérieur, l’aumakua et enfin par notre partie divine, le I en anglais, le Je, notre âme.
Sur la décision de notre âme, nous nous concentrons sur une couleur, une dimension, dans une sorte de zoom, pour y réaliser une expérience de vie différente de celle du TOUT mais lorsque nous sommes concentré sur une dimension, nous perdons la conscience du TOUT.
Nous sommes venus dans cette dimension, la troisième, pour permettre à notre conscience de s’ouvrir à travers l’expérience et le non amour. Le savoir existe mais il est divin. Le savoir humain est une imitation, et si nous voulons l’apprendre nous devons ouvrir notre cœur, car le divin communique par le cœur. Ce savoir nous ne pouvons pas le posséder, nous ne pouvons que le donner.
Pour transcender cette dimension il nous faut donc combiner Amour et Savoir divins. Nous devons nous ouvrir à la vie, recevoir ce savoir et le donner. Ainsi nous serons les plus heureux.