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Le jeu

2021/01/11

Nous sommes Dieu, individuellement et tous ensemble car nous sommes Un. C’est la raison pour laquelle nous sommes responsable à 100 % de tout ce que nous vivons. Malheureusement cette vérité nous est cachée par nos mémoires. Si nous ne sommes pas contents de notre vie actuelle, il nous suffit de changer le monde en effaçant nos mémoires (mais pas nos souvenirs) et en élevant ainsi notre fréquence.

Cependant, bien que tout cela puisse se faire instantanément, l’objectif nous semble impossible à atteindre. Il nous faut nous calmer et procéder méthodiquement. Respirons.
Nous avons à notre disposition 3 outils de Ho’oponopono :
- Le plus connu, les 4 phrases. Je suis désolé. S’il te plaît pardonne moi. Merci. Je t’aime.
Il est un peu déroutant à utiliser au début mais lorsqu’on sait à qui l’on s’adresse, lorsqu’on l’utilise en conscience et après une pratique assidue, il est suffisamment efficace.
- Au début notamment mais aussi pour effacer les mémoires récalcitrantes, familiales ou de groupes, la prière de Mornah en 12 étapes est magnifique. C’est une sorte de bulldozer qui permet de bien décortiquer tout le processus de l’effacement d’une mémoire. Lorsque nous sommes à l’aise avec ce processus, le 4 phrases abordées précédemment fonctionnent mieux.
- Le programme de Mornah nous permet d’effacer les mémoires de la matrice, c’est à dire toutes les mémoires de fond qui nous conditionnent quotidiennement. Nous pouvons ainsi atteindre l’état de zéro limite, l’éveil, la paix intérieure.
Ces trois outils permettent à chacun de nous de changer son propre monde car en ne projetant plus nos mémoires sur les autres ou sur nous-même, notre monde change. Les gens que nous fréquentons changent de version, de comportement lorsque nous changeons de fréquence, ainsi chacun de nous habite dans son propre monde selon sa propre fréquence et son propre état d’esprit, c’est la raison pour laquelle il nous est si difficile de communiquer.
Nous voyons l’Autre à partir de notre monde à nous et vise et versa. Nous avons donc besoin d’un langage commun qui est en dehors de ces mondes, c’est le langage du cœur, le ressenti.

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