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Le détachement

2021/06/21

En pratiquant Ho’oponopono systématiquement et donc fréquemment, nous apprenons à lâcher prise et à nous détacher des évènements qui nous entourent parce que nous savons que nous les avons créés et que nous pouvons les dé-créer. Dans le cadre de cette pratique assidue, nous passons généralement par trois phases :

1- Le détachement de la matière : Petit à petit nous nous détachons de tous les tracas du quotidien, petits et gros, comme la recherche de sensations ou d’émotions fortes, la possession, l’addiction sexuelle, etc ...Nous prenons davantage conscience de qui nous sommes vraiment et nous n’avons plus envie de porter un masque ou de jouer la comédie comme nous l’avons fait jusqu’à présent pour plaire aux uns ou aux autres.
2-Le détachement du plan affectif et émotionnel : Plus tard, nous nous détachons de tout ce à quoi nous croyions tenir et qui n’était finalement que poudre aux yeux. Notre recherche effrénée de l’amour devient inutile puisque nous l’avons en nous, même la nourriture que nous pensions pourtant indispensable nous intéresse de moins en moins puis plus du tout. Et nous nous sentons de plus en plus légers.
Nos perceptions de l’invisible se développent et nous retrouvons notre don naturel de clairvoyance. Nous prenons d’avantage conscience de l’importance de la famille.
3-Le détachement de tout ce qui est dysharmonique : Nous sentons de plus en plus facilement ce avec quoi nous sommes en phase et nous nous éloignons de tout ce qui ne nous correspond pas. La mort ne nous effraie plus, notre corps s’harmonise, se désintoxique, se dés-identifie de toutes les maladies. Il retrouve sa jeunesse. Nous comprenons l’importance de l’être humain dans la création.
C’est à partir de ce moment là que nous nous éveillons et que notre véritable aventure, celle pour laquelle nous sommes véritablement ici commence. Nous savons qui nous sommes vraiment et ce que nous faisons sur terre. Nous n’avons ni doute ni peur, nous vivons dans la certitude, car notre mental est connecté en permanence à sa Source, la Divinité, le masculin/féminin est définitivement installé en nous.

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