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La fin du cauchemar

2020/11/28

Avant d’avoir appris à effacer nos mémoires, nous sommes en phase avec elles. Elles font partie de nous et nous nous identifions à elles. Nous accumulons les ennuis et nous nous croyons victime de la vie.

Au fur et à mesure que nous les effaçons, notre fréquence augmente mais celle des mémoires non effacées reste la même. Aussi lorsque nous les rencontrons, sous la forme de situation désagréables par exemple, nous les jugeons encore plus lourdes qu’auparavant alors même que nous en somme détachés. Ceci peut nous donner l’impression d’un certain malaise, car c’est une sensation étrange. D’habitude, ce genre de situation génère une réaction bien connue (de la colère, de la jalousie etc …) mais la, rien. Notre réaction familière a laissé la place a une lassitude de plus en plus difficile à supporter.
Plus notre fréquence augmente, plus les basses fréquences nous alourdissent. Jusqu’au moment ou nous n’arriverons plus à les supporter et nous les lâcherons une fois pour toute. Nous nous sentirons alors extraordinairement léger, ce sera la fin du cauchemar et le début de notre nouvelle aventure.

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