A ce titre, elles font partie du processus de guérison, elles permettent au corps d’exprimer et d’évacuer nos pensées refoulées. Nous devons les accueillir et les intégrer, leur donner de l’amour avec Ho’oponopono, ce qui ne veut pas dire que nous ne devons pas nous soigner. Pendant la pratique, il nous faut être à l’écoute de nos ressentis, ils se traduiront en idées qui révéleront le sens profond que la maladie prend pour nous.

Toutes les maladies, de la plus bénigne à la plus grave sont des invitations à la capitulation, au lâcher-prise, elles nous disent d’arrêter de lutter et l’accepter ce qui est. Elles sont nos amies du Chemin, elles nous apprennent la tolérance et l’humilité.

En acceptant la maladie, elle devient un bon guide spirituel pour nous.