C’est une affirmation qui n’est pas facile a admettre mais nous pouvons au moins l’accepter et réaliser une introspection honnête pour découvrir qu’elle est vraie. Bien sûr tout se passe sur le plan énergétique et involontaire, au sens courant du terme. Atteint d’un cancer à l’age de 2 ans, le poids de cette « injustice » m’a poursuivi toute ma vie. Il m’a fallu attendre 55 années pour découvrir la clé de l’énigme. Je sais que j’ai créé cette maladie chez moi et je sais pourquoi. Je ne ressens aucune culpabilité, aucun regret. J’ai juste trouvé la réponse à ma question. Si je vous livre cette expérience personnelle, c’est simplement pour dire que cette introspection est possible. Pas facile, mais possible.



D’une manière plus générale, nous pouvons constater que lorsque nous nous trouvons face à une personne qui nous déplaît celle-ci, bien souvent, nous agresse au moins verbalement, nous cherche des noises. De ce fait nous la rendons responsable de ces agressions. Cependant, c’est bien nous-même le premier agresseur, celui (ou celle) qui le premier a émis cette pensée de non amour, dans le genre « mais qu’il est con ce type, je peux pas le blairer ». La vie nous renvoie ce que nous avons demandé, c'est à dire tout ce qu'il faut pour ne pas pouvoir le blairer.



D’où cela provient-il.

Essentiellement du sentiment de culpabilité que nous portons tous en nous, plus ou moins consciemment. Et donc, comme nous ne nous sentons pas responsable, il faut bien que quelqu’un d’autre le soit. Ça sera donc l’autre, les autres, le premier qui passe, au travail, dans le couple, partout.

Il est donc primordial de nous pardonner. Ho’oponopono est là pour cela. Effacer, toutes les mémoires qui génèrent ces petites et grosses agressions du quotidien, effacer la mémoire de la culpabilité et surtout nous pardonner à nous même. Et nous donner de l’Amour, inconditionnellement.

C’est la voie vers la paix et la sérénité. Le paradis quoi !