Dans ce rêve que nous considérons comme notre réalité, la mort est une étape de repos qui nous prépare à commencer une nouvelle vie ayant pour objectif de corriger les erreurs qui ont causé cette mort. C’est que l’on appelle la roue du Karma, un cycle éternel.
Et bien, il n’est pas si éternel que cela et, pour sortir de ce cycle, le secret est le lâcher prise. Partout où nous nous opposons à ce qui arrive dans notre vie, nous nous rapprochons de la mort. Mais nous pouvons aussi corriger notre trajectoire à chaque instant en utilisant le pardon ; Ho’oponopono est un processus de pardon. De pardon à soit même et de pardon aux autres car nous sommes les créateurs de tout ce qui nous arrive et par conséquent nous ne sommes coupables de rien, mais responsable de tout.
Effacer nos mémoires une à une nous permet d’affaiblir un peu plus à chaque fois la mémoire racine, la mémoire de la séparation d’avec Dieu, celle-la même qui crée la culpabilité en nous. C’est cette culpabilité que nous refoulons autant que nous le pouvons mais qui crée pendant ce temps toutes les autres mémoires. Tous nos problèmes dans nos vies sont créés par cette culpabilité et Ho’oponopono nous permet de nous en libérer.
Toutes les horreurs qui apparaissent dans nos vies sont les projections de nos croyances et de nos jugements. En nous pardonnant à nous même nous créons peu à peu les conditions nécessaires à l’apparition de la réalité douce et innocente de notre monde.