Par exemple, si nous avons peur de l’avion, nous pouvons avant le décollage faire Ho’oponopono afin d’effacer la mémoire de peur de l’avion mais aussi de prendre du recul par rapport à cette peur. Un des effets de ce travail pourrait être par exemple de prendre conscience que la peur n’a jamais empêché un avion de se cracher ni d’arriver à bon port et qu’elle est donc parfaitement inutile.
C’est ce genre de détachement par rapport aux mémoires qui est, me semble-t-il, intéressant. Il permet de « mesurer » nos progrès et de constater de quelle façon nous étions accro à nos mémoires.
Tout ce que nous voyons à l’extérieur de nous est une projection des mémoires que nous avons à l’intérieur, par conséquent, si nous nous voyons entourés de malheurs, c’est que nous y sommes attachés, nous le voulons, car pour nous la vie est forcément négative et donc nous projetons du négatif.
Alors en effaçant nos mémoires nous nous détachons d’elles et peu à peu le malheur s’affaiblit jusqu’à ce que nous soyons convaincus que rien de négatif ne peut se produire puisque nous sommes dans la volonté Divine.