La notion de temps est donc différente en fonction des différentes dimensions et de bien d’autres paramètres. Dans notre rêve de troisième dimension, le temps est considérablement ralenti par notre mental et la distance entre la pensée et sa réalisation est très longue. Dans ce monde, nous pensons que tout a une fin et la mort est la fin de notre temps sur Terre. Nous faisons tout notre possible pour repousser l’échéance. Nous essayons de rester jeune, de ne pas tomber malade, mais cela ne fait que repousser l’échéance.
La mort ne peut se dissoudre qu’en la traversant, c’est à dire en l’acceptant, sans peur, en l’aimant pour toute l’aide qu’elle nous a donné jusqu’à présent mais maintenant que nous savons que nous sommes responsable de tout, nous prenons conscience que nous n’avons plus besoin d’elle et nous pouvons l’effacer définitivement de notre vie, comme n’importe quelle autre mémoire.
La mort n’existe que parce que nous nous y opposons, si nous l’acceptons, si nous nous pardonnons de l’avoir créée dans notre vie en pratiquant Ho’oponopono, nous l’effacerons et nous vivrons de nouvelles aventures au cours desquelles nous ne trouverons pas de problème, ni de maladie, ni de vieillesse, zéro limite, la liberté absolue !