
Centre Européen de Ho'oponopono
28/03/25
Le renversement du monde

Si nous voulons voir, nous devons fermer les yeux. Si nous voulons entendre le battement de l’univers, nous devons fermer nos oreilles. Et si nous voulons vivre pleinement la Connaissance Divine, nous devons fermer nos cinq sens et nous concentrer sur notre cœur par le biais de notre ressenti ; alors il s’ouvrira comme une fleur épanouie et rouvrira à nouveau nos cinq sens.
Ainsi, nous inversons notre vision du monde. Au lieu de l’observer de l’extérieur vers l’intérieur, comme nous le faisons habituellement, nous allons l’observer à partir du cœur, de l’intérieur vers l’extérieur.
Notre opinion envers notre vécu va changer, car c’est une question de perspective. Ce n’est pas la même compréhension que nous aurons si nous regardons le monde avec le cœur ou avec le mental.
Nous verrons que le monde change en fonction de notre perspective. Ou nous voyons la réalité, ou nous voyons l’illusion. Le plus difficile pour nous est de nous maintenir concentrés assez longtemps sur le ressenti pour arriver à renverser la vapeur.
Il faut une décision ferme, une motivation et une persévérance. Si nous ne sommes pas convaincus, nous ne pouvons pas y arriver. C’est une question de résonance : ou ce projet résonne en nous et nous le sentons dans nos tripes, ou nous ne sommes pas encore prêts. Alors n’insistons pas, sinon nous allons tomber dans le faux-semblant.
Le mental sera notre meilleur ami et serviteur, il reportera fidèlement notre vision de la réalité, il travaillera à nouveau avec nous et non plus contre nos intérêts.
Nous réussirons dans tous les domaines, terrestres comme célestes. Nous connaîtrons le sens de la paix sur terre et nous serons le phare lumineux aidant les autres voyageurs à arriver à destination.
Ne nous inquiétons pas, tout le monde y arrivera, chacun à sa façon. Si nous éprouvons de la difficulté, continuons d’effacer les mémoires ; ainsi, le processus ne peut être que plus facile.
Paix et Amour seront sur terre. Alors, nous ne serons plus pressés de la quitter.