
Centro Europeo Ho'oponopono
La mémoire de la reconnaissance

2020/11/05
Cette mémoire (appelée également personnage ou sous personnalité) est responsable de beaucoup de problèmes relationnels.
C’est elle qui nous pousse à nous mettre en avant, en vedette, à vouloir gagner à tout prix, à nous faire remarquer, à avoir de l’ambition, à avoir de nombreuses conquêtes sexuelles etc. … Elle voit les autres comme des ennemis, des concurrents, des adversaires et elle cherche à les vaincre. C’est également une mémoire de groupe car l’ambition par exemple est un aspect qui est encouragé et valorisé dans notre société. Elle fait également souffrir les personnes qui ont une mauvaise image d’elles-mêmes et qui manquent donc de cette fameuse reconnaissance.
C’est donc une mémoire qui occupe une grande partie de l’ego, l’effacer nous permettra de faire un grand bond dans notre parcours. Elle est née de la croyance que Dieu n’est pas satisfait de nous et que, par conséquent, nous valons peu de chose, alors nous sommes obligés de nous tourner vers les autres pour nous mettre en valeur.
Cette mémoire collective et ancestrale cherche le pouvoir à tout prix, quelquefois ouvertement, quelquefois d’une façon subtile et insidieuse. Elle est particulièrement visible chez nos responsables politiques et chez le patronat, mais en vérité elle est en force presque partout.
La soif de pouvoir au niveau individuel se traduit par la recherche du contrôle des autres et par la manipulation, en particulier dans le couple.
Les systèmes patriarcaux et matriarcaux sont basés sur le principe de cette mémoire, la suprématie. Il est donc important pour nous de nous occuper de cette mémoire à l’intérieur de nous sans nous inquiéter de l’extérieur, ce n’est qu’un reflet.
Mon Unihipili, je suis désolé de t’avoir confié cette mémoire du besoin de reconnaissance, s’il te plaît pardonne-moi. Transmet cette mémoire à notre Aumakua afin qu’il l’a remette au Divin et qu’elle soit transmutée en parfaite Lumière. Merci. Je t’aime.
Je suis désolé, s’il te plaît pardonne-moi, merci, je t’aime.